Ben oui, en reprenant la route, aprés Lescun, en voyant le billare devant moi, les orgues qui se dessinent en fond de vallée, l anie qui surgit encore enneigé, le vallon d anaye, la mouline, le pré de pompom (sans pompom bouhou), nos pierres tracés l abérouat sur le chemin au dessu du parking, entendre le bruit des oiseaux, l odeur du printemps qui parfument nos narines, les fleurs qui colorent les prairies qui redeviennent petit a petit verte, voir le mont rustina la bas au fond, le visaurin, le labigouere, le pic du midi d ossau, et revoir les images de cet été endiablé ancré dans ma mémoire comme si c était hier, revenir au centre et retrouvé ce doux parfum ennivrant presque oublié ...Mais la saveur reviens vite et deja, l envie de rester ici m impregne, rester la au soleil devant la véranda, voir les vautour effectué des cercle au dessu de boué, voir les ramiges du Gypaéte barbu (le notre, celui de l abérouat ^^), sentir ses orteils s enfouir dans l herbe chaude d une fin d aprés midi aprés une petite marche, l envie de gravir de nouveau ! Avec un didier qui donne encore plus envie (prochaine étape le petit billare !!!), retrouver sa directrice préféré et partager plus encore, voir courir Guapa encore toute petite et me sauter dessu et chipé mes mollets sous les yeux d un baikal endormit.
Toute ces bonnes ondes oublié ressurgissent et m envahissent, y a qu ici que ça me fait ça, Gourette m aura marqué, pour sur, mais quand je vois l infinité d ici rien n est pareil, je suis quelqu un d autre, sauvage, revenu a lui meme....ici ...a l abérouat, chez moi.
inspiration du une nuit nocturne un peu agité, mais qui resonne tellement vrai dans ma tete:
Mon ame est en vallée d Aspe, mon coeur en vallée d Ossau..
Et ça m as fait sourire quand joana m as dit que j avais prit l accent ossalois....(c est faux !)
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